Des intervenants sont disponibles pour vous aider, partout au Québec, 24/7
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La détresse ne devrait jamais mener au suicide. Dans le cadre de la Semaine de prévention du suicide, on souhaite mettre en lumière différentes façons de prévenir cette problématique. En ouvrant la discussion autour du suicide, nous espérons encourager la population à dépasser les tabous et à s’entraider.
Plusieurs signes peuvent indiquer qu’une personne vit de la détresse, comme des changements de comportements ou d’humeur. D’autres signes sont moins visibles, comme la perte de motivation et le découragement.
Savoir reconnaître ces signes et demeurer attentif à leur apparition peut être fort utile au sein de nos relations.
Oserez-vous demander à votre
collègue comment il va?
Lorsqu’un proche semble éprouver des difficultés, on peut se sentir impuissant et s’interroger sur ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour l’aider. Des questionnements peuvent nous passer par la tête : Suis-je la bonne personne pour en parler? Devrais-je aller plus loin? C’est tout à fait normal! Il n’existe pas de moment ni de mots parfaits pour parler de ce qui ne va pas.
L’important est que vous ne restiez pas seul avec vos doutes : osez en parler, que ce soit avec la personne en détresse ou avec un professionnel qui saura vous outiller. Rappelez-vous aussi que vous pouvez jouer un rôle important auprès de vos proches, mais que vous n’êtes pas totalement responsable de leur bien-être.
Oserez-vous demander
des détails?
Certaines fausses croyances peuvent nous faire hésiter à parler du suicide avec notre entourage. C’est compréhensible, nous pouvons tous avoir entendu diverses théories à ce propos. Par exemple, on pourrait croire que parler du suicide directement donne l’idée de s’enlever la vie.
C’est en fait un mythe. Poser la question de façon directe, en utilisant des mots comme «suicide» ou «se tuer», est la seule manière de savoir si quelqu’un a des idées suicidaires. Nous pourrions être portés à utiliser des expressions comme «idées noires», mais celles-ci ne nous apporteront pas la réponse claire que nous cherchons. En ouvrant la discussion directement, on ouvre la porte pour que la personne puisse s’exprimer franchement.
Oserez-vous lui demander
s’il pense au suicide ?
Vous avez osé entamer une conversation importante, malgré le défi que cela peut représenter. Parler du suicide avec une personne vivant des difficultés est l’un des divers moyens de prévenir le suicide. En vous informant, comme vous le faites présentement, vous vous joignez à un grand mouvement de gens qui veulent bâtir un Québec sans suicide. Vous pouvez aussi vous impliquer de plusieurs autres façons : promouvoir les ressources d’aide, réaliser un projet de sensibilisation, faire une collecte de dons et plus encore.
Enfin, n’oubliez pas que les services d’aide en prévention du suicide existent non seulement pour les personnes qui pensent au suicide, mais aussi pour vous, comme entourage. Ne restez pas seul avec vos inquiétudes, quelqu’un est là pour vous soutenir dans vos démarches.
Oserez-vous aller plus loin ?
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La détresse ne devrait jamais mener au suicide. Dans le cadre de la Semaine de prévention du suicide, on souhaite mettre en lumière différentes façons de prévenir cette problématique. En ouvrant la discussion autour du suicide, nous espérons encourager la population à dépasser les tabous et à s’entraider.
Oserez-vous tenter l’expérience?Plusieurs signes peuvent indiquer qu’une personne vit de la détresse, comme des changements de comportements ou d’humeur. D’autres signes sont moins visibles, comme la perte de motivation et le découragement.
Savoir reconnaître ces signes et demeurer attentif à leur apparition peut être fort utile au sein de nos relations.
Oserez-vous demander à votre collègue comment il va?
Lorsqu’un proche semble éprouver des difficultés, on peut se sentir impuissant et s’interroger sur ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour l’aider. Des questionnements peuvent nous passer par la tête : Suis-je la bonne personne pour en parler? Devrais-je aller plus loin? C’est tout à fait normal! Il n’existe pas de moment ni de mots parfaits pour parler de ce qui ne va pas.
L’important est que vous ne restiez pas seul avec vos doutes : osez en parler, que ce soit avec la personne en détresse ou avec un professionnel qui saura vous outiller. Rappelez-vous aussi que vous pouvez jouer un rôle important auprès de vos proches, mais que vous n’êtes pas totalement responsable de leur bien-être.
Oserez-vous demander des détails?
Certaines fausses croyances peuvent nous faire hésiter à parler du suicide avec notre entourage. C’est compréhensible, nous pouvons tous avoir entendu diverses théories à ce propos. Par exemple, on pourrait croire que parler du suicide directement donne l’idée de s’enlever la vie.
C’est en fait un mythe. Poser la question de façon directe, en utilisant des mots comme «suicide» ou «se tuer», est la seule manière de savoir si quelqu’un a des idées suicidaires. Nous pourrions être portés à utiliser des expressions comme «idées noires», mais celles-ci ne nous apporteront pas la réponse claire que nous cherchons. En ouvrant la discussion directement, on ouvre la porte pour que la personne puisse s’exprimer franchement.
Oserez-vous lui demander s’il pense au suicide?
Vous avez osé entamer une conversation importante, malgré le défi que cela peut représenter. Parler du suicide avec une personne vivant des difficultés est l’un des divers moyens de prévenir le suicide. En vous informant, comme vous le faites présentement, vous vous joignez à un grand mouvement de gens qui veulent bâtir un Québec sans suicide. Vous pouvez aussi vous impliquer de plusieurs autres façons : promouvoir les ressources d’aide, réaliser un projet de sensibilisation, faire une collecte de dons et plus encore.
Enfin, n’oubliez pas que les services d’aide en prévention du suicide existent non seulement pour les personnes qui pensent au suicide, mais aussi pour vous, comme entourage. Ne restez pas seul avec vos inquiétudes, quelqu’un est là pour vous soutenir dans vos démarches.
Oserez-vous aller plus loin?
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